La violence faite aux hommes n'existe pas, c'est bien connu! Pour preuve, le témoignage d'un père ...
Extraits du courrier de Monsieur Le Huec Jérôme, père, adressé au Juge des Enfants :
« La maman entretenant une relation extrêmement fusionnelle avec mon enfant, ce dernier est par ailleurs « propriété exclusive » de l’entourage maternel. A ce jour en effet, alors qu’il n’a pas encore 4 ans, il a passé plus de 400 jours au domicile de la grand-mère maternelle, systématiquement sans moi, quand il n’a pas passé une seule seconde chez ses grands-parents paternels, privés de leur septième petit enfant, qu’ils ne connaissent pas.
Depuis la séparation voici deux ans, je n’ai « vu » mon enfant que 50 heures à peine, dont 40 entre les deux décisions iniques du juge H.., bafouées en toute impunité par une mère d’emblée sanctifiée. A ce jour, je n’ai « vu » mon enfant que 24 heures en 2006, et plus du tout depuis le 28 janvier de la même année, soit plus de 400 jours.
La chose serait, paraît-il, dans son intérêt.. ».
Je profite de l’occasion pour vous transmettre un compte rendu de mon intervention dans un débat organisé à Bondy, sur le thème de l’homophobie, où je suis intervenu. Bien évidemment, je m’associe pleinement pour tous les combats contre l’exclusion et le rejet de l’autre, et tout particulièrement l’homophobie. Cependant, intéressé par le contenu du débat, j’ai rappelé une fois de plus, aux responsables locaux présents du Parti Socialiste, qu’il n’y avait pas que les homosexuels et les femmes qui étaient victimes de discrimination. J’ai rappelé que j’ai eu la chance de collaborer avec un père homosexuel, Monsieur Eric Verdier, psychologue et fondateur de Coparentalite.com, et que les pères homosexuels et hétérosexuels étaient également conjointement victime d’une même discrimination qui devait être tout autant reconnu et notamment par le Parti Socialiste dans son ensemble, par la même occasion par le président de SOS RACISME, Monsieur Harlem DESIR, député PS européen. A mon intervention, tout en admettant qu’il y avait, je cite, « un problème de garde d’enfant », qualification quelque peu réductrice voir méprisante à l’égard du problème soulevé, après un vif échange, Monsieur HARLEM DESIR n’a pas voulu reconnaître officiellement l’existence de cette discrimination honteuse, alors qu’il venait de s’étendre longuement sur les grands principes républicains, et la lenteur qu’a eu la société à reconnaître le juste combat contre l’homophobie.
J’ai renouvelé ma demande que le Parti Socialiste reconnaisse officiellement l’existence de cette discrimination et fait part de ma suggestion de substituer dans le programme du Parti Socialiste « le Droit des Femmes » par « le Droit des Hommes et des Femmes à une vraie égalité politique, professionnelle et parentale », concept plus égalitaire et plus juste. Un vif échange a eu lieu alors avec une représentante du lobby ultra-féministe, qui a évoqué que tous les trois jours une femme mourait sous les coups de son mari, violence justifiant la privation d’une relation normale avec nos enfants. Elle a également réaffirmé que nous devions accepter sans broncher cette violence, parce que les « les femmes auraient subi 2000 ans de souffrances »... Surprise, la dame m’a demandé la confirmation sur le fait, que Monsieur Eric Bresson, co-animateur du Collectif, ait été reçu le 4 mai 2007 par Madame Ségolène ROYAL, qui semble avoir des prises de positions plus justes et plus modernes, en faveur de la paternité, en décalage complet visiblement avec une partie non négligeable de la base de sa formation politique d’origine…Est à noter qu’une intervenante a fait état de son témoignage: elle était « père et transexuelle », et a pu obtenir sans aucun problème en justice la garde de ses enfants !...Ce témoignage venait tout à fait à propos pour démontrer l’absurdité de la pratique actuelle de la justice matriarcale dite familiale... Après la tenue du débat, j’ai eu grand plaisir à échanger quelques idées avec certains des animateurs homosexuels à qui j’ai pu rapporter les difficultés particulières qu’on les pères homosexuels qui subissent de plein fouet de la part de la justice et de la société une double discrimination…
Franchement, les vives réactions que mon intervention qui se voulait courtoise et amicale a suscitées, démontrent qu’il est plus qu’urgent de mettre à exécution les différentes propositions de refonder le Parti Socialiste, et surtout le contenu du projet sur ces sujets avec une orientation plus égalitaire et équilibrée sur ces questions. Un grand parti démocratique et républicain n’a aucune chance de fédérer une majorité de français, en restant braqué sur des positions partisanes et sexistes, et ne devrait plus demeurer sous la coupe des lobbies « maternalistes ». Il est temps de reconnaitre toutes les formes de discriminations Ces lobbies « maternalistes » escroquent toute la gauche. Elles instrumentalisent l’image positive du combat féministe historique depuis le 19e siècle jusqu’il y a 30 ans, à des fins inavouées: Disposer de la suprématie totale en affaires familiales, éradiquer les pères de l’éducation de leurs enfants, instaurer le monopole gynarque absolu en matière d’éducation et d’endoctrinement des enfants, puis utiliser ces parfaits janissaires de la guerre sexiste contre leurs pères afin d’installer la gynarchie(**) absolue dans toutes les autres instances de la société.
Pour Info, un extrait du programme? du P.S. :
« Nous voulons favoriser l’égalité réelle afin de lutter contre toutes les discriminations. Nous proposerons trois lois, la première pour lutter contre les violences faites aux femmes, la seconde pour ouvrir aux couples de même sexe le mariage et l’adoption, la troisième pour que chaque loi votée prenne en compte le handicap. »
Encore de la poudre aux yeux!
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Lettre Complète:
Madame le Juge des enfants,
Par la présente, j’ai l’honneur de vous saisir d’une demande concernant mon fils Lucas, né à Rennes le 10 juin 2003.
En effet, j’émets de très vives inquiétudes quant aux conditions morales d’éducation de mon enfant, celles-ci étant gravement compromises par le comportement de son entourage maternel, comportement renforcé par un badaouisme destructeur visant, justice dite « familiale » misandre à l’appui, à ma disparition pure et simple – d’une manière ou d’une autre – de la vie de mon enfant.
La maman de mon enfant, Mademoiselle Emmanuelle T., vous a saisi d’une demande le 22 avril 2006, au motif qu’elle éprouvait « de très vives inquiétudes pour la sécurité de [son] enfant » (cf. copie ci-jointe, agrémentée de mes commentaires), justifiant sa demande par les conclusions d’un rapport d’« enquête sociale » aux contenu et conclusions aussi farfelues qu’outrageusement calomnieuses.
L’auteur de ce ramassis de mensonges, Olivier C., professionnel de l’imposture « expert » psychoastrologue près la Cour d’appel de Rennes, suspendu depuis, fait l’objet de plusieurs plaintes pour dénonciations calomnieuses, usurpations de fonctions... de la part de plusieurs citoyens n’acceptant pas d’être arbitrairement décrétés coupables ou malades mentaux par un système prompt à le faire.
La maman entretenant une relation extrêmement fusionnelle avec mon enfant, ce dernier est par ailleurs « propriété exclusive » de l’entourage maternel. A ce jour en effet, alors qu’il n’a pas encore 4 ans, il a passé plus de 400 jours au domicile de la grand’mère maternelle, systématiquement sans moi, quand il n’a pas passé une seule seconde chez ses grands parents paternels, privés de leur septième petit enfant, qu’ils ne connaissent pas.
Depuis la séparation voici deux ans, je n’ai « vu » mon enfant que 50 heures à peine, dont 40 entre les deux décisions iniques du juge H.., bafouées en toute impunité par une mère d’emblée sanctifiée. A ce jour, je n’ai « vu » mon enfant que 24 heures en 2006, et plus du tout depuis le 28 janvier de la même année, soit plus de 400 jours.
La chose serait, paraît-il, dans son intérêt...
Lassé de la tournure que prennent les événements et malgré une action menée voici bientôt un an – au cours de laquelle plus d’un aura pu constater la grandeur de l’Institution et l’immense courage de ceux qui la mènent à la décadence – aucune avancée n’a eu lieu dans ce dossier. Au contraire : l’appel interjeté par la mère judiciairement sanctifiée de mon enfant – manœuvre purement dilatoire au demeurant irrecevable visant, entre autres, à ma ruine financière – n’a eu pour effet que de renforcer un état de fait, à savoir la destruction pure et simple du lien père/enfant.
C’est pourquoi, malgré plusieurs plaintes pour non présentation d’enfant, toutes demeurées sans réponse, malgré demande de réquisition des forces de l’ordre pour exercer de maigres « droits de vision » au demeurant contraires à l’exercice d’une coparentalité illusoire, ne supportant plus d’assister impuissant au saccage de la vie de mon enfant par un système tentant par tous moyens de me broyer, je vous supplie de prendre toutes mesures permettant d’enrayer une destruction inéluctable en donnant une suite favorable à ma demande.
Quoi qu’il en soit, et en tout état de cause,
Refusant catégoriquement de cautionner un système exclusivement mercantile en me pliant à quelconque « contre enquête », « expertise » ou autres travaux occultes dont les conclusions ne seraient suivies QUE dans les décisions prises à l’égard de cet enfant, et UNIQUEMENT cet enfant, ce qui en démontrerait les fourberie et lâcheté ;
Refusant catégoriquement de cautionner une destruction programmée en la finançant par une pension alimentaire au demeurant illégale que je ne paierai jamais ;
N’acceptant pas d’être arbitrairement placé sur le banc des accusés – encore moins celui des malades mentaux – par un système fabriquant des coupables à force de broyer des citoyens ;
N’acceptant pas l’impunité totale – ou, plus exactement, l’immunité utérale – dont bénéficie la famille maternelle, sanctifiée par une Institution ouvertement misandre ;
N’ayant nullement l’intention d’attendre septembre prochain pour voir entériner les conclusions du torchon C....n par les consorts Rxxxx, Pxxx, Txxxx et autres criminels en robe noire manoeuvrant en Cour d’appel ;
Préférant, au contraire, que mon enfant soit davantage en danger physique supputé avec moi et chez moi plutôt qu’en danger psychologique avéré avec et chez son entourage maternel ;
Bref, n’acceptant pas cette mascarade judiciaire JAFreusement orchestrée ;
MAIS
Considérant qu’il est de l’intérêt d’un enfant d’être orphelin de père ;
J’appliquerai très prochainement à la lettre la décision prise par Monsieur François Hxxxx, pédoclaste manoeuvrant en justice dite familiale.
Espérant que l’Institution Judiciaire soit en mesure de m’apporter la preuve qu’elle compte encore en son sein quelques personnes respectueuses de leur serment, de LA loi et des principes les plus élémentaires devant prévaloir dans les décisions – ce qui n’a à aucun moment été le cas jusqu’à présent,
Je vous prie d’agréer, Madame le Juge des enfants, les humbles salutations du géniteur que je n’accepterai jamais de me contenter d’être.